« Minah est... une fille... Ce n'est pas ce que je voulais dire mais ça reste à prouver cette histoire ! Minah... est ma fiancée. Histoire de familles coréennes oblige. Bref, je ne suis pas ravi d'être déjà potentiellement fiancé. Et je n'étais pas emballé quand mon père m'a dit qu'elle était "spéciale", il glissa qu'au moins, elle pourrait être "ma pote". J'ai tout de suite compris : un garçon manqué. Mais en la rencontrant, bien que sa personnalité avait des aspects masculins certes, je ne sais pas, je l'ai trouvée marrante... Elle est mignonne. Ça ne veut pas dire que je ne veux pas enterrer cette histoire de fiançailles ! Mais on pourrait être amis... peut-être sortir ensemble... je l'aime bien oui - surtout en fait depuis que mon pote a bavé sur elle - mais elle semble me voir comme un ennemi. Ça m'amuse. Si elle savait que j'arrive à Poudlard ! Peut-être qu'il y a de plus belles filles là-bas et je pourrais oublier son visage... Et on pourra travailler à mettre fin à ces fiançailles, puisque c'est ce qu'on veut... je crois. Mon plan ? Qu'elle trouve un autre fiancé, c'est le plus réaliste (ou pas) mais je ne sais pas trop... »

« Mon taré de cousin. Ouais, on s'aime bien dans le fond mais il a une sacrée acromantula au plafond. Il se méfie des filles comme des dragons (mais vraiment), il se fait passer pour un vampire pour effrayer les premières années, il a des manières de diva... Il est dingue. Mais si drôle - sauf quand il regarde avec ces yeux qui peuvent tuer quelqu'un. Il m'aide souvent bien qu'on se voit que pour les grandes vacances. Sauf que cette année, je le rejoins à Poudlard donc on se verra bien plus. C'est lui qui m'a envoyé des clichés de Minah avant de la rencontrer. Ils ont l'air de bien s'entendre au final, sûrement que seul son côté vélane/gumiho lui fait peur... Ce n'est pas une vraie fille donc elle ne l'inquiète sûrement pas ! »

« La fiancée de mon cousin... Quand il m'a dit que sa fiancée était en septième année à Poudlard, j'ai cherché dans ma tête toutes les asiatiques de Serdaigle en septième année. Aucune ne correspondait à Minah... Quand j'ai demandé une fois de retour à Poudlard, j'ai compris pourquoi : c'est l'ancien garçon manqué (ancien, ça, ça reste à débattre). Je la trouvais plutôt froide et sainte-nitouche. Garçonne aussi. Loin du style de filles de mon cousin. Je ne sais pas lequel je plains le plus. Par curiosité, je me suis rapproché d'elle, aussi dans l'idée d'intervenir dans le massacre qu'est son style. Je ne pensais pas m'attacher à elle. C'est une fille sympa, bizarre mais attachante. Je fais tout pour m'en ficher car c'est une femme mais je n'y arrive pas. Comme mon père avec sa mère, j'ai sûrement été pris dans les filets du sort des Gumihos... Elle affirme n'avoir aucun héritage de gumiho. TU PARLES.
Minah est donc la seule fille qui ne me fait pas froid dans le dos... pour cause, elle agit comme un mec (certains côtés à part). »

« Mon inutile cousin. Si si, je l'aime bien mais je préfère le traiter de crétin que d'adorable. Car il n'est pas adorable selon moi, c'est un idiot. Il réfléchit souvent trop ou de la mauvaise façon et pense qu'aux filles... ces êtres sans cœur. Pas comme si lui avait un cœur, j'en doute toujours. De toute façon mon oncle à régler l'affaire : il l'a fiancé... A un garçon manqué. Qui se trouve dans mon école de sorcellerie. Comme il ne vient à Poudlard que pour cette année, c'est moi qui ait enquêté sur sa future femme (brr) pour lui. Je suis inquiet pour lui car cette fille, bien qu'elle soit en fait sympa, est la fille d'une sorte de vélane (gumiho). La même qui avait charmé mon père autrefois. »

« Ça ne se voit plus maintenant que j'ai changé de corps mais Minah est ma fille biologique. Ou la fille biologique de mon ancien corps. Je la regarde désormais grandir dans l'ombre puisqu'elle ne me regarderait pas comme son père mais comme un dangereux inconnu. Je pense qu'avec ma nouvelle apparence, je pourrais avoir sa confiance et changer ses idéaux. Je veux qu'elle s'assouvisse devant notre nouveau maître, oui. Pourquoi ? Parce qu'une partie de moi se trouve en elle et c'est la seule de mes enfants que j'ai vu grandir. Puis si jamais, je pourrais toujours me servir d'elle. De toute façon, je lui forcerai la main : ne veut-elle pas revoir son jumeau en vie ? Je peux faire ça. »